Stéphane de Keijzer - Psychomotricien
formé à la pratique psychomotrice Aucouturier
reconnu par l'U.P.B.P.F.
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"L'enfant ne joue pas pour apprendre, il apprend parce qu'il joue." J. Epstein
C'est au départ du jeu libre de l'enfant, de la naissance à sa majorité, dans le plaisir, que le psychomotricien invite à vivre différentes expériences sensorimotrices (courir, sauter, glisser, pousser, lancer,...), pulsionnelles (décharge corporelle), perceptives, symboliques (jouer à faire semblant) ou de représentations (dessin, pâte à modeler, construction).
Le Jeu est une manière de découvrir et apprivoiser le monde dans lequel l'enfant vit et participe au développement de son identité.
L'enfant apprend à vivre et exprimer ses émotions de manière sécurisée dans l'optique d'une meilleure maîtrise de celles-ci. Il développe ainsi une image positive de lui, favorise sa créativité, lui permet d’apprendre à se connaître et d’affronter la réalité.
​Partir des compétences de l’enfant plutôt que de ses faiblesses.
Respecter son rythme et l’accompagner vers une meilleure conscience
de lui-même et de l’autre.
L'enfant apprend ainsi à créer une relation de confiance et de respect avec son thérapeute. C'est cette relation qui le soutiendra dans la (re)construction d'un équilibre psycho-corporel et ce, en tenant compte de son environnement, ses désirs, ses besoins, ses moyens et capacités d’adaptations.
Avant même l’acquisition du langage, ces expériences corporelles vont influencer le développement psychique, cognitif et affectif de l'enfant. Du plaisir d'agir, l'enfant accède au plaisir de penser.
Corps et psychisme sont interdépendants.
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Le psychomotricien fonde son accompagnement sur les échanges corporels et émotionnels avec l’enfant ou l'adolescent. Le matériel utilisé se veut neutre de manière à développer tout son potentiel imaginaire. J'utilise également des techniques de relaxation, des médiations corporelles, l’expressivité posturale et gestuelle ...
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«On construit d’abord les fondations et les murs d’une maison, le corps.
Puis on vit à l’intérieur. On joue dedans.
Plus la construction est solide, plus l’habitation sera confortable.
Les événements, les peines, les joies, les chagrins, les conflits, toutes les nuances émotionnelles de la vie pourront s’y déployer sans crainte d’un effondrement.
Les événements extérieurs auront d’autant moins de prise sur l’individu
que la construction sera solide»
(Catherine Potel)
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Psychomotricité : enfants et adolescents.
- troubles du comportement
- blessure narcissique
- questions existentielles
- difficultés émotionnelles
- handicap intrafamillial
- troubles instrumentaux
Un contact régulier avec les parents est souhaitable.
L'hippothérapie s'exerce sous différentes formes. Elle s'adresse à des publics de tous âges, et aussi variés que des personnes ayant un handicap physique ou mental, ayant différents troubles psychologiques, à des personnes étant porteuses de maladies invalidantes, étant en souffrance, en besoin d'aide, etc.
L'hippothérapie ne s'adresse pas à un public spécifique mais offre un contexte particulier permettant un accompagnement thérapeutique. Ce contexte particulier est celui de la relation avec le cheval, et tout ce que cet animal offre comme caractéristiques particulièrement riches et soutenantes dans l'exploration et l'expérimentation de soi contribuant à une démarche thérapeutique.
Le WATSU® est une technique toute particulière de relaxation. Il combine le shiatsu et les bienfaits de l'eau chaude. De là son nom qui est en fait la contraction de WAter et shiaTSU
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Pratiquée dans de l'eau chaude, à une température d'environ 35 °, qui approche de celle du corps, l'Aqua-Relaxation par le WATSU® combine, tout en douceur, pressions, étirements, bercements et mouvements.
Ceux-ci favorisent la libre circulation de l’énergie le long des méridiens.
Un bercement fluide et lent, rythmé par la respiration profonde l'amène à une détente totale et profonde.
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Les bienfaits de la pratique :
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Gestion efficace contre l'anxiété et le stress, la dépression, le burn-out
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Traitement des douleurs physiques, émotionnelles et psychiques
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Bien-être pré et post natal
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Epanouissement personnel
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Aide à la relaxation cardio-vasculaire
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Diminution des battements cardiaques
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Atténuation des spasmes musculaires
Plus d'informations : regarder un film de présentation ou lire une revue de presse ...
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Je suis en cours de formation
Possibilités de servir de modèle dans le contexte d'apprentissage
WATA est l’abréviation de l’allemand « WasserTanzen » (danse aquatique).
WATA est une technique dans laquelle le receveur (portant un pince-nez) est progressivement amené à retenir son souffle (apnée) sous l’eau dans une gravité tridimensionnelle.
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Le WATA (ou WaterDance) est essentiellement une technique visant à amener à un état de relaxation profonde. C’est une « thérapie » qui utilise les propriétés curatives de l’eau chaude, ainsi que les effets calmants de la respiration fluide et de la respiration suspendue.
Lors d’une séance, le corps du receveur est tout d’abord amené à la surface de l’eau et successivement déplacé, mobilisé, étiré et massé. Les tensions psychiques, les blocages d’origine émotionnelle et psychologique, peuvent s’adoucir ou même disparaître complètement.
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À l’aide d’un pince-nez, le nez est bloqué et la personne est progressivement amenée sous l’eau dans un espace d’apesanteur tridimensionnel. Le toucher de l’eau, le travail sur la respiration, et la fluidité des mouvements dansants ont des effets apaisants. Le corps se détend. L’esprit se détend. Les émotions se calment. Le champ d’énergie s’expanse. Au fur et à mesure de la séance, le souffle est retenu pendant des périodes de plus en plus longues, selon les capacités de chacun. Une libération des mouvements dans l’eau s’ensuit naturellement, créant une forme de danse subaquatique. Une distorsion du temps et de l’espace peut se faire sentir et amener à un état de conscience modifié, à un sentiment de relaxation profonde. Des sensations de plaisir et de joie profondes en résultent également souvent. Ainsi, le WATA allie une allégresse avec fluidité et harmonie.
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Le WATA partage des influences avec les mouvements de l’Aikido (art martial japonais), la grâce et l’agilité du ballet classique, et la liberté ondulée des dauphins. Le WATA engendre parfois une régression vers l’état du fœtus, notre lien avec l’énergie de la mère, l’immensité de la mer, jusqu’à la source même de la vie qui se cache à l’intérieur.
Les séquences sous l’eau et à la surface dépendent principalement de la capacité et du rythme respiratoire de chacun.
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Le WATA a été créé par Aman Peter Schröter et Arjana C. Brunschwiler, tous deux d’origine suisse, en 1987).
